
Vélo, route, train : la course à la mobilité durable est-elle bien lancée
Le monde politique, le secteur industriel ainsi que la société civile sont tous d’accord sur un point : la mobilité du quotidien se doit d’être la plus vertueuse et durable possible. Tous les modes de transports sont donc concernés. Quelques explications et pistes de réflexion. Côté trottinettes électriques, « Malgré l’absence d’aides par l’État, on a observé la consolidation d’un phénomène, souligne Jean Ambert, fondateur de Smart Mobility Lab. C’est un mode de transport qui s’est démocratisé et qui permet de continuer à se déplacer en respectant les gestes barrière. »

Les grandes surfaces à l’assaut de la mobilité douce
Vélos, trottinettes, scooters, et même des voitures électriques ont désormais leur place dans les enseignes Monoprix, Casino, Carrefour ou encore Fnac Darty. L’article passe en revue les stratégies élaborées par les différentes enseignes. Jean Ambert directeur du cabinet d’études Smart Mobility Lab revient sur l’essor des mobilités douces : ” Avant même la vague des trottinettes électriques, il y a eu la mode des trottinettes mécaniques. Depuis, la révolution de la micro-mobilité, avec des engins bénéficiant d’innovations de rupture améliorant l’autonomie et les performances, n’a fait que renforcer cet engouement “

Lime, Dott, Tier… qui a gagné la guerre des trottinettes ?
Il y a deux ans, les trottinettes électriques étaient partout, envahissaient les rues et les trottoirs. Rien qu’à Paris, on comptait alors plus de 10 opérateurs proposant chacun leur modèle, leur appli, leur abonnement. Jean Ambert, directeur de Smart Mobility Lab, revient sur l’évolution fulgurante du marché des trottinettes électriques, depuis la pandémie du Covid-19.